◇ two side of the same coin.

nevillles ○ florence and the machine.

~ Léonard (Léo) Merlyn ~

{i've been looking for a breath of life, a little touch of heavenly light but all the choirs in my head sang no oh oh}

♢ Age: Physiquement, il fait beaucoup plus jeune que son âge, ce qui peut parfois être pratique. Mais il a 28 ans. Dans son coeur de gamin, il en a seulement 8. Date et Lieu de Naissance: Il est né en août, mais la plupart de ces proches ignore la date exacte. Disons seulement qu'il est prêt du 9. Hoston Grove est sa maison depuis de nombreuses années, il n'a jamais eu d'autre maison que cette ville. Nationalité│Origine(s): Américain bien qu'il adore prendre un accent britannique. C'était une de ces tactiques de séduction préféré. Métier│Etudes: Soldat retraité, maintenant devenu pompier. Après les horreurs qu'il a vu - merci à son père pour avoir été soldat avant lui - il a décidé après deux ans de s'arrêter pour s'occuper de sa famille déjà réduite en bouilli. Statut Economique: Bien, plutôt bien même. $$$$$. Statut social: Marié à Phyn. Avatar: Sam Claflin.

✓ franc, honnête, discret, moqueur, souriant, enjoué, parfis avide, humeur changeante, fragile, fidèle, incertain, dévoué, bordélique, froid, distant.

● do you want to build a snowman ?
S'il a décidé de s'enrôler dans l'armée, il le doit à son père qui lui-même a été soldat. Leo n'a cependant pas pu rester longtemps, les horreurs venant interférer la qualité de son travail et le marquant très certainement à vie. ~ Bien que plusieurs de ces proches mettent le blâme sur l'armée pour son changement de comportement, c'est totalement faux. Il s'agit de l'accident de voiture qui a tué son fils qui en est à l'origine. ~ Leo a décidé de devenir pompier. Il tente de sauver des vies humaines le plus qu'il peut et d'éviter de faire des ravages. ~ Il aime sa femme plus que tout au monde. Elle est certainement la femme de sa vie, et a une place très importante dans son coeur. Il ne voit personne d'autre que Phyn. Il se souvient de leur mariage et ne peu qu'être heureux d'avoir épousé cette femme merveilleuse. Chaque jour il se demande ce qu'elle peut bien lui trouver pour rester et se tenir à ces côtés chaque jour de leur vie. ~ Leo avait projeter de faires des études de droits. Après les avoirs commencer, il a tout plaquer pour joindre l'armée.

Spoiler:

We're not healthy, barely breathing
But this pain keeps my heart beating
We are lost when we're together
But I'll follow you forever

Tu la regardes. Là, coucher, tranquillement en train de dormir. Tu as envie d'aller la rejoindre dans le lit, mais tu le sais, ce serait irraisonnable. Tu te rappelles que vous n'êtes plus ensemble, enfin. Vous êtes unis par la loi, par vos alliances, mais vos coeurs ont besoin de temps pour guérir et le sien ne semble pas le trouver. Bien que tu ne veuilles pas attendre des années lumières, tu te tiens là en silence à observer ta femme. Tu l'aimes d'amour, ça, personne ne pourra te l'enlever. Tu aimes te bercer d'illusion et te dire qu'elle reviendra la première vers toi. Mais au fond, c'est toi qui devras le faire. Le coeur en morceau, en charpie, tu soupires et rebrousse chemin. Tu entends un bruit, un tout petit bruit dans la chambre à coucher. Celle qui était la tienne avant. Leo? Tu te tiens prêt de la porte, mais de son lit, elle ne peut pas te voir. Tu essais de penser correctement, de savoir si tu as envie de te montrer ou d'attendre qu'elle se rendorme. Tu viens finalement à te montrer dans la porte. Ton amour pour Phyn est trop fort pour que tu l'ignores. Rendors-toi. Je venais que jeter un coup d'oeil. Savoir si tu étais encore vivante et en santé. Ça te brise le coeur de penser que quelque chose aurait pu lui arriver. Elle se tient si prêt de toi, mais est si loin à la fois. Tu ne voudrais que la prendre dans tes bras et l'embrasser éternellement. Lui dire à quel point elle est belle et combien tu l'aimes. Mais tu le sais, vous le savez tous les deux, elle ne te laissera pas faire avant un bon moment. Tu restes là, prêt de la porte et vous échangez quelques mots comme de vieux amants, comme un vieux couple marié qui décide de divorcer. Tu t'en veux encore énormément pour cette journée-là, celle où vous avez perdu votre fils.. Ton fils. À ce souvenir tes lèvres tressaillent. Phyn n'a jamais autant pleurer qu'à ce moment là. Elle a mit le blâme sur toi, sur elle, sur l'univers et finalement sur toi. Et de ton côté, tu savais que tu étais la personne à blâmer. Combien de fois cette journée-là t'avait elle dit de mettre ces chaines sur la voiture? Mais tu ne l'as jamais fait. Tu t'en veux et t'en voudras probablement toujours, d'avoir gâcher une vie parfaite, d'avoir tué votre fils. Chaque nuit tu te réveilles la sueur sur le front, en cri et en pleurs, en te remémorant ton fils, mort par ta faute. C'est trop de pression pour toi. Et tu as besoin de ta femme, de Phyn, de la mère de ton fils, de la personne que tu aimes le plus au monde. Puis tu tentes de te rendormir, sans succès. Tu es devenu insomniaque, faute des cauchemars. Tu es victime de ta propre vie, et ça te tue chaque jour un peu plus. Tu veux retrouver ton fils, ta femme, ta vie. Mais il est bien trop tard pour ça, par ta faute. Tu continues de la regarder avec un petit sourire. Tu veux la rejoindre dans le lit, tu en meurs d'envie, mais tu te retiens. Au lieu de quoi tu prend le cadre de porte pour appuie. Cette chambre qui a déjà été tienne, celle dans laquelle toi et elle avez fait votre fils. Des souvenirs mémorables. Tu te rappelles la journée de l'accouchement et un sourire touche tes lèvres.

○○○

Et là, il vient? Tu as ta main sur le ventre de ta femme en quête. Elle roule les yeux et soupire. Tu attends ce moment avec impatience, tu veux qu'elle accouche tout de suite, maintenant. Tu sais bien que ça ne dépend pas de ta petite volonté à toi. Mais c'est plus fort que toi. Non. Leo, arrête un peu. Elle se met à rire et tu souris en la regardant doucement. Tu caresses son ventre rond avec un sourire sur le visage. Tu trouves le temps long, tu voudrais que le bébé, que votre fils, vienne au monde tout de suite. Ton empressement fais rire ta femme. Fais un effort Phyn! Il faut que tu le ressentes, que tu le veuilles. Elle se met à rire en te regardant. Tu es sérieux et ça la fait énormément marrer. Elle ne croit pas à un mot que tu dis. J'essaie, mais c'est un peu dur. Tu fronces le regard et met tes deux mains sur le ventre de ta femme en te concentrant. Tu te dis que si tu visualises pour elle, ça marchera. Puis tu sens le bébé bouger, et ça te déconcentre un instant. Finalement tu regardes Phyn et te décide de te mettre par terre à genoux pour parler à ton fils. Allez, arrive, s'il-te-plaît. Fais plaisir à papa. Devant toi, Phyn tire la langue en te voyant faire. Elle n'est sûrement pas aussi excité que toi d'arriver à l'accouchement. Elle fronce le regard lorsque tu la regardes, tu te relèves en laissant tomber, allant dans la cuisine. Leo- Tu lui coupes la parole la porte du réfrigérateur ouverte. Tu veux un truc à manger? Tu ne la regardes toujours pas, un regard chercheur, la tête pleine d'idée et ton ventre affamé. Leo! Tu fronces le regard et te retourne pour voir ta femme debout en te regardant l'air étonné. Tu essais de comprendre et elle te fait une tête surprise que tu ne comprennes pas. Le bébé! Tu la regardes, impassible avant d'ouvrir grand les yeux et de te précipiter vers elle. Tu regardes autour de toi, tu cours allez chercher le sac préparé par Phyn et toi, puis tu prends les clés de la voiture et tu ouvres la porte. Bien que tu veuilles laissez Phyn marcher, tu la prends dans tes bras pour faire plus vite, à deux vous fermer la porte et la verrouiller. Vous vous rendez dans la voiture et vous dirigez vers l'hôpital.